Jean-Pierre Chevènement, invité de LCI

Chevènement : "on a détruit l'école de l'intérieur"


jeudi 31 mars 2011

Le MRC soutient la journée de mobilisation "Notre santé en danger"


"Les inégalités sociales et territoriales d’accès aux soins sont autant de blessures pour notre pacte républicain. Il en va de même de la multiplication des mesures tendant à augmenter la part individuelle du financement des dépenses de santé au détriment de leur financement solidaire. Un quart de nos concitoyens déclarent avoir récemment renoncé à des soins pour raisons financières. La loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires, adoptée en 2009, introduit, alternativement, soit une concurrence préjudiciable, soit une inquiétante fusion entre les structures hospitalières publiques et privées.

Démographie médicale et paramédicale, répartition géographique des professionnels de santé, poids de l'industrie pharmaceutique, dépassements d’honoraires, rémunération à l’acte des professionnels de santé libéraux sont autant d'autres questions qui pèsent sur l'égalité d'accès à des soins de qualité et sur la pérennité de notre système de santé. Les compagnies d’assurances observent avec convoitise les évolutions de notre système de santé que la politique de restrictions amorcée par le gouvernement au nom d'engagements européens irresponsables, va ébranler davantage. Politique industrielle dynamique et pacte de croissance sont indispensables à la préservation des systèmes de protection sociale, en France comme partout en Europe.

Dans ce contexte, les Agences Régionales de Santé, structures regroupant les services de l’Etat et de l’Assurance maladie, risquent de n’être que les outils d’application d’une loi largement imprégnée d’idéologie libérale. Il n’est pas trop tard pour donner au médecin traitant les moyens d'être, enfin, le pivot du système de soins et pour que l’Hôpital public continue d’assurer la synthèse républicaine entre excellence médicale et égalité d’accès aux soins. C'est pourquoi le Mouvement Républicain et Citoyen s’associe à la journée de mobilisation pour « notre santé en danger » prévue le 2 avril".

(communiqué du Mouvement Républicain et Citoyen)

mercredi 23 mars 2011

JP Chevènement : toute la résolution 1973, rien que le résolution 1973 !


Le sénateur et ancien ministre Jean-Pierre Chevènement a appelé mardi lors du débat sur l'opération militaire en Libye à "respecter" les "limites" posées par la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'Onu autorisant cette opération. "La résolution 1973, oui, mais rien que la résolution 1973 !" a lancé le sénateur du groupe RDSE (à majorité PRG). La résolution "pose des limites qu'il convient d'autant plus de respecter que cinq pays du Conseil de sécurité et pas des moindres se sont abstenus; la Chine, la Russie, l'Inde, le Brésil et l'Allemagne notre partenaire privilégié en Europe", a-t-il souligné.

"Je ne doute pas", a-t-il lancé au Premier ministre, que "votre gouvernement ait le souci de faire prévaloir une interprétation stricte de la résolution 1973". "C'est au peuple libyen et non à une intervention extérieure et encore moins à une intervention de l'OTAN sur le modèle afghan qu'il revient de reconquérir la démocratie", a-t-il exhorté.

"Laissons, s'il le faut, aux peuples arabes le soin d'abréger son pouvoir (du colonel Kadhafi, ndlr). Evitons tout ce qui pourrait donner l'impression que nous voulons imposer à la Libye nos choix politiques", a martelé l'ancien ministre de François Mitterrand. "Ce n'est pas seulement l'intérêt de la démocratie dans le monde arabe et celui, bien compris, à long terme, de Libye, c'est aussi l'intérêt de la France", a-t-il conclu.
(dépêche AFP, mardi 22 mars 2011, 19h18)

samedi 19 mars 2011

Japon: au-delà des polémiques, assurer la protection des populations


"Un tremblement de terre d’une amplitude exceptionnelle (d'une magnitude supérieure à 9), un tsunami gigantesque puis différentes répliques ont touché le Japon depuis le vendredi 11 mars. Cette catastrophe d’une gravité extrême dont l’estimation est de plus de 10 000 morts, a entrainé le déplacement de plusieurs centaines de milliers d’habitants et détruit de nombreuses habitations et installations industrielles. Les conséquences humaines, sociales, économiques, environnementales et écologiques seront désastreuses. Le Japon se trouve ou va se trouver avec des difficultés d’approvisionnement en alimentation, en eau et en électricité. La destruction des raffineries et des usines chimiques a provoqué la dispersion du pétrole et de produits chimiques qui vont polluer les eaux dans les sols côtiers du Japon. Les dégâts sont d’ores et déjà estimés à plus de 130 Milliards d’€ et le premier ministre du japon a comparé cette catastrophe à celle que le Japon avait vécu à l’issue de la dernière guerre mondiale. Les conséquences économiques pour le Japon seront extrêmement graves et les répercussions économiques se feront sentir dans le monde entier.

Cette catastrophe déjà exceptionnelle s’est doublée de graves accidents nucléaires dont la cause principale est le tsunami qui a endommagé les systèmes de refroidissements. Ces accidents ont fait fondre partiellement ou même peut-être totalement le cœur de certains réacteurs de la centrale de Fukushima qui en compte six. Le Mouvement Républicain et Citoyen tient à exprimer son émotion face à ces événements qui frappent la population japonaise et son admiration pour l’énergie mise par le peuple japonais pour remédier aux conséquences de ces événements. La priorité de l’heure est d’apporter notre appui aux Japonais. La situation du nucléaire en France est différente de celle du Japon. L’absence de risque de tsunami, la technologie utilisée en France (PWR (Pressurized Water Reactor)) qui est différente de celle utilisée au Japon (BWR (Boiling Water Reactor)), l’EPR doublement sécurisé, enfin le caractère public de la filière nucléaire française offrent des garanties de sécurité supérieures à celle des filières commerciales.

La priorité du moment est de porter secours au peuple japonais. Si l’émotion est légitime face aux conséquences de cette catastrophe dont l’origine est naturelle, il appartient aux responsables politiques de raison garder, dans ces moments tragiques pour le Japon. Surfant sur la catastrophe japonaise, les partis et associations de « l’écologie politique » demandent l’ouverture d’un « grand débat » qui à leurs yeux ne serait curieusement ouvert qu’aux anti-nucléaires. C’est une exploitation politicienne de la catastrophe sismique japonaise et de ses conséquences, qui joue sur la peur. Ce qui est urgent, c’est de tirer toutes les leçons de cet accident pour la sécurité des centrales nucléaires à travers le monde et notamment en France, en vérifiant la sécurité de nos centrales, et en diffusant l’information tant publique qu’indépendante, qui est nécessaire".
(Communiqué du Mouvement républicain et Citoyen)

jeudi 17 mars 2011

La construction européenne résumée en 2 dessins !


(pour une meilleure lecture du 2ème dessin, vous pouvez l'agrandir en faisant un clic gauche dessus)

dimanche 13 mars 2011

Risque sismo-nucléaire : la France n'est pas le Japon !


Depuis vendredi, le sujet qui fait tout à fait logiquement la une de l'actualité est le terrible tremblement de terre qui a eu lieu au Japon. Avec une magnitude de 8,9 sur l'échelle de Richter qui mesure depuis 1935 non plus l'intensité des secousses et les dégâts causés à la surface de la terre - comme le faisait la bonne vieille échelle de Mercalli - mais l'énergie libérée par les séismes, c'est le 6ème tremblement de terre le plus violent jamais enregistré ! Évidemment, ses conséquences sont déjà dramatiques, que ce soit sur le plan humain, puisque l'on parle actuellement d'au minimum 10.000 morts, ou sur le plan économique, puisque les destructions massives d'infrastructures et de bâtiments ainsi que la désorganisation qui en découle impactera fortement la croissance d'un pays qui est tout de même la 3ème puissance économique mondiale. Mais le plus grave reste peut-être à venir avec la possibilité d'une catastrophe nucléaire dans la centrale de Fukushima, où le risque d'une nouvelle explosion n'est toujours pas écartée, ou dans celle de Onogawa qui vient d'être placée en état d'urgence.

Cette situation a bien sûr ému le monde entier et elle a déclenché une multitude de propositions pour venir en aide au gouvernement nippon et aux malheureuses victimes. Elle a aussi mis en émoi les antinucléaires de tous poils qui se sont mis à redouter les conséquences d'éventuels autres séismes sur les centrales nucléaires de plus en plus nombreuses que compte la planète. Cela a été tout particulièrement le cas en France qui possède le 2ème plus important parc nucléaire du monde ! A priori, ces craintes ne sont pas infondées puisque, d'après une carte du risques sismo-nucléaire publiée en 2005 par le réseau "sortir du nucléaire" que vous trouverez ci-dessous, 42 des 58 réacteurs français se trouvent dans des zones à risque. Cependant, de là à en déduire que la France coure à plus ou moins long terme le même danger que celui que connaît aujourd'hui le Japon, il y a un pas que le MRC 08 estime stupide de franchir ... comme le montre la grille d'interprétation des données de la carte que vous trouverez dans le tableau ci-dessous et qui prouve que le site français le plus dangereux, en l'occurrence la centrale de Fessenheim en Alsace, atteint péniblement le niveau 5+ qui correspond à l'effondrement des murs non renforcés et à la chute occasionnelle des distributeurs automatiques mal installés. Pas de quoi s'alarmer outre mesure donc, d'autant que les systèmes de protection ont été considérablement renforcés dans les centrales nucléaires françaises depuis la catastrophe de Tchernobyl...

(pour une meilleure lecture des documents, vous pouvez les agrandir en faisant un clic gauche dessus)

lundi 7 mars 2011

JP Chevènement : "il est des circonstances où le devoir doit parler"


Nord Eclair: Quel est le message principal que vous souhaitez adresser aux étudiants de l'Edhec ?
Jean-Pierre Chevènement: J'ai répondu à leur invitation pour présenter mon livre, La France est-elle finie ? (Fayard). Cet ouvrage est une réflexion sur quarante années de vie politique française ainsi qu'une plongée rétrospective dans le XXe siècle français, qui fut catastrophique et précipita notre pays dans une crise nationale de longue durée. Mais à travers une relecture de cette période, je souhaite avant tout « armer » nos concitoyens pour le XXIe siècle, afin de leur rendre la confiance sans laquelle aucune nation ne peut construire son avenir.

Vous vous montrez, comme toujours, très critique sur la politique européenne...
L'Union européenne s'est construite à partir d'un concept de marché et en acceptant, dans les années 1980 la dérégulation néo-libérale. Mon livre est une réflexion sur la manière de redresser l'Europe aujourd'hui, notamment en s'affranchissant de la dictature des marchés financiers, ou en modifiant les règles de fonctionnement de l'euro, ou encore en trouvant un moyen de s'en sortir à moindre frais en cas d'effondrement de la zone euro, que l'on ne peut pas exclure. L'Europe, pour devenir acteur de son propre destin, doit pouvoir résister à la domination conjointe des États-Unis et de la Chine. L'euro aujourd'hui est une variable d'ajustement entre le dollar et le yuan chinois.

Souhaitez-vous défendre vos idées lors de la prochaine élection présidentielle ?
Il faut qu'émerge une politique alternative par rapport à celle proposée par Nicolas Sarkozy ou prônée par les candidats socialistes potentiels également prisonniers de la logique des marchés financiers et d'un européisme à courte vue. L'élection présidentielle constitue la seule occasion dans notre système institutionnel de peser véritablement dans le débat politique. Reste à savoir si les Français attendent réellement une vision alternative et s'il existe un espace politique pour cela. Je ne suis pas obsédé par l'idée de devenir président de la République. Cette idée n'a pas gouverné ma vie. Mais il est des circonstances où le devoir doit parler.

Aujourd'hui, vous pensez donc très sérieusement être candidat ?
Oui, très sérieusement.

Qu'est-ce qui vous sépare des candidats potentiels du PS ?
La plupart des candidats ne sont pas encore déclarés. Martine Aubry est une femme sincère que je respecte. Mais j'entends dire qu'elle se retirera si Dominique Strauss-Kahn était candidat. Cela pose un vrai problème d'orientation politique.

DSK représente-t-il à vos yeux la défense du néolibéralisme ?
Je le connais bien, j'ai siégé dans le même gouvernement que lui. Je connais aussi les idées qu'il professe : il est pour l'État aux abonnés absents. J'ai lu également ses écrits, notamment son rapport de 2004 au président de la Commission européenne, Romano Prodi sur les perspectives de l'Europe. Vision totalement irréaliste. J'espère qu'il aura changé de point de vue en 2012. Je souhaite qu'il trouve son chemin de Damas !

Vous vous êtes singularisé à gauche par l'opposition à l'Europe et la défense du principe républicain. Aujourd'hui, la crise de l'euro et la reprise du thème républicain par l'ensemble des formations de gauche confèrent à vos positions une réelle actualité...
Je ne suis pas contre l'Europe, il faudrait dissiper cette idée. Je suis contre la manière dont elle a été faite avec la dérégulation de l'économie comme moteur. Je suis également très préoccupé par l'érosion de notre base industrielle, avec des conséquences directes sur notre modèle social. Je ne suis pas anti-européen, mais je refuse que toutes les directives de Bruxelles aient pour seuls soucis la concurrence, l'ouverture des marchés et la fin des services publics. L'euro est une monnaie surévaluée qui contribue à notre désindustrialisation. Je suis pour une Europe des nations, pas une Europe qui se fait sans elles, voire contre elles. Concernant le modèle républicain, je vois effectivement que les socialistes et les Verts parlent désormais d'« intérêt général » et de « République ». Mais il faudrait que ce discours se traduise de manière concrète, car la République comporte des exigences fortes en matière d'école, de sécurité, de civisme et donc de patriotisme. La réaffirmation de l'identité de la France est nécessaire au redressement de l'Europe, dans l'intérêt de l'Europe et de l'Allemagne elle-même, dont la politique rigoriste à courte vue nous conduit dans le mur.
(Propos recueillis par Martin Leprince pour Nord Eclair, 07 mars 2011)

dimanche 6 mars 2011

Carte de l’intercommunalité : la composition de la commission chargée de son redécoupage est désormais connue !


S’il est un sujet dont on va beaucoup parler dans les Ardennes pendant cette année, c’est celui de la finalisation de la carte de l’intercommunalité qui devra être terminée pour le 31 décembre. A priori, c’est assez étonnant puisque c’est un thème plutôt éloigné des préoccupations quotidiennes des habitants, mais dans notre département c’est logique étant donné que cette opération imposée par l’Etat aboutira, d’une part à l’intégration souvent contre leur gré de la dizaine de communes encore isolées dans une intercommunalité, et d’autre part à une réduction drastique du nombre des regroupements de communes qui devrait passer de 17 à seulement 8 ! Un vrai chamboulement du paysage administratif et politique en perspective, qui ne se fera pas sans grincements de dents, que ce soit du côté des communautés de communes les moins peuplées, dont l’avenir semble des plus compromis, ou du côté de la Pointe qui verra la commune de Revin en profiter pour essayer de forcer l’entrée de la très convoitée car très riche communauté de communes Ardenne Rives de Meuse.

Évidemment, une décision d’une telle importance ne sera pas prise par le 1er quidam venu, mais par le plus haut représentant de l’Etat dans le département, à savoir le Préfet qui s’appuiera sur la Commission Départementale de la Coopération Intercommunale (CDCI). Jusqu’à il y a peu, on pensait qu’en application de l’arrêté préfectoral du 26 mai 2008 cette instance comprendrait 44 membres, répartis de la façon suivante : 25 représentants des communes (dont 8 pour les 5 plus peuplées du département, 7 pour celles ayant une population inférieure à la moyenne des communes ardennaises et 10 pour les autres communes), 9 représentants des établissements publics de coopération intercommunale (communautés de communes, syndicats mixtes et syndicats intercommunaux), 7 représentants du Conseil général et 3 pour le Conseil régional. On sait aujourd’hui que ce ne sera pas le cas puisque ce texte a été abrogé le 16 février dernier par un nouvel arrêté préfectoral qui a fixé à 42 le nombre des membres de la CDCI.

Sur ce nouveau total, 17 représenteront les communes – parmi lesquels 5 seront envoyés par les 5 communes les plus peuplées du département, 7 par les 380 communes ayant une population inférieure à la moyenne des communes ardennaises et 5 par les 78 autres communes – 17 également représenteront les établissements publics de coopération communale à fiscalité propre (c’est à dire les 16 communautés de communes ardennaises et la communauté d’agglomération de Cœur d’Ardennes), 2 les syndicats mixtes et les syndicats intercommunaux qui sont au nombre de 179, 4 le Conseil général et 2 le conseil régional. Une composition sensiblement différente donc de la précédente puisqu’elle réduit considérablement le poids des communes, notamment des 5 plus grandes, et des 2 conseils au profit des intercommunalités existantes. Est-ce que cela changera la carte finale qui sera élaborée pour la fin de l’année ? Certains n’hésitent pas déjà à le dire, mais pour le MRC 08, c’est encore trop tôt pour l’affirmer, d’autant que les membres de la CDCI dont l’élection est actuellement en cours ne seront officiellement connus que le mercredi 16 mars à 14h30...

jeudi 3 mars 2011

Le chiffre du jour !


29 ! C’est le nombre particulièrement élevé aux yeux du MRC 08 de téléphones portables que la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse avait à sa charge l’été dernier et qui n’a certainement pas diminué depuis. Que faut-il penser de ce chiffre qui a été révélé par Bernard Dekens, le président de l’intercommunalité la plus enviée du département, lors du Conseil communautaire qui s’est déroulé le 04 août 2010 ? A priori qu’il est le reflet des nombreuses compétences exercées par la Communauté de communes puisque l’usage de 21 d’entre eux a été confié à ses plus importants dirigeants administratifs ainsi qu’à ses différents chefs de service qui ont ainsi pu accroître leur rapidité de communication et par conséquent l’efficacité du travail de l’ensemble du personnel communautaire. Une bonne chose donc, dont personne ne saurait se plaindre.

Mais quid des 8 autres ? Ils ont été mis à la disposition du président de l’intercommunalité, ce qui est bien la moindre des choses, de 6 des 10 vice-présidents et d’1 des 23 conseillers communautaires. Une répartition globalement logique, mais qui amène toutefois à se poser plusieurs questions ! Pourquoi 4 des vice-présidents ne disposent-ils pas des mêmes moyens de communication que leurs alter ego ? Serait-ce parce que leurs attributions, à savoir l’environnement, le tourisme, les nouvelles technologies et l’urbanisme, sont jugées secondaires ? Pourquoi Jean-Luc Grabowski est-il le seul conseiller communautaire à bénéficier d’un des téléphones portables de la Communauté de communes ? Est-ce parce qu’il est par ailleurs 1er adjoint auprès de Bernard Dekens, le maire de Vireux-Wallerand qui est également le président de l’intercommunalité, comme le disent déjà ici ou là de mauvaises langues ? Ou bien ce privilège - révélé de façon maladroite le jour anniversaire de l’abolition des privilèges – s’explique-t-il parce qu’il rend des services méconnus du grand public à la Communauté de communes ?

Des questions simples, mais pas anodines pour les contribuables de la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse, auxquelles il serait bienvenu d’obtenir un jour des réponses claires...